cette voie en boucle prend sur la rue Corby pour desservir le lieu-dit. Elle est située en contrebas du talus ferroviaire et de la sous-station électrique.
Cette activité, qui repose sur une carrière de glaise et la facilité d’utiliser du bois de chauffage, a suscité cette dénomination sur tout le territoire, notamment à Paris.
Le Dictionnaire historique, topographique et militaire de tous les environs de Paris, publié en 1810, cite Viroflay au chapitre géologie : « Le coteau de Viroflay est de même formation que celui de la Butte Montmartre, mais le gypse n’y est point exploité. Les marnes vertes qui recouvrent les marnes gypseuses sont employées à faire des briques et des tuiles. On les a aussi longtemps employées avec succès pour en faire les étuis, ou gazettes, dans lesquelles on cuisait à la Manufacture de Sèvres, la porcelaine appelée « tendre ».
Et c’est pourquoi l’une des premières industries pratiquées à Viroflay est celle de la tuile pour utiliser l’argile.
En 1851-1852, une partie des terrains appartenant à la Manufacture de Sèvres est expropriée au profit des chemins de fer et la voie tracée sur ce qui reste est appelée rue de la Tuilerie.