Dans le haras prospérait un bosquet ; on imagine les pur-sang venant y chercher l’ombre aux heures chaudes de l’été. L’urbanisation a détruit le bosquet, mais le chemin qui y conduisait est resté : c’est la rue du Bois.
L’accordéoniste Raymond Boisserie a habité avenue Robert Hardouin ainsi que cette rue. Peut-être a-t-il été séduit par ce clin d’oeil à son nom.