Cette voie nouvelle, réalisée en 1991 le long du viaduc, a reçu ce nom en souvenir du lieu-dit « l’Alisier » où poussaient ces arbres ressemblant aux sorbiers. Leur bois très blanc était recherché par les menuisiers pour faire la monture de leurs outils. Avec les petites branches, on faisait des flûtes et des fifres.
Selon l’Union internationale pour la conservation de la nature, les sorbiers sont particulièrement en danger, les trois quarts des 170 espèces européennes de sorbiers étant considérées comme menacées de disparition.
Dans le folklore breton les fées changent parfois les os de bétail avec du bois de sorbier qui contient lui aussi de la moelle.
Le sorbier était considéré comme ayant des propriétés magiques dans les cultures notamment des anciens Slaves, Scandinaves et Celtes, et jouait un rôle dans leurs rites.