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De nombreux sites cartophiles ont été rassemblés pour vous dans la rubrique Liens, article Sur la Toile. Ne manquez pas d’y aller pour des visites virtuelles variées.
En rédigeant l’article Des cartes sur la Toile, j’ai découvert une série de photos de Viroflay datant de 1905. Elles représentent la Villa bon repos et un étang (donc pas sur le territoire de la commune). Une recherche sur Chaville donne trois photos d’un étang. Ces photos proviennent de la base de données Mémoire mise à disposition par le ministère de la culture.
- Paul Chocque
Paul Chocque (voir l’article spécialisé était un coureur cycliste des années 1930-1940 vivant à Viroflay avec sa famille, cycliste elle-aussi.. On lui promettait une belle carrière ; elle fut interrompue par un accident mortel au vélodrome du Parc des Princes.
L’immeuble où a été fait le reportage est au second plan à droite.
- Les Bertisettes
Le stade des Bertisettes est consacré au football depuis les années 1920. Il prend la suite d’un plateau d’évolution pour les cavaliers.
- Les Bois
Les bois abritaient des courses de cross et recevaient beaucoup de meutes de scouts lors des dimanches ou des vacances d’été.
- La Maison des Enfants
Inaugurée le 11 juillet 1926, la "Maison des Enfants et des Oeuvres Sociales" a été construite par la municipalité d’Alexandre Bénazet dans un contexte hygiéniste, avec des bains-douches et un dispensaire au rez-de-chaussée. A l’étage une grande salle parquetée voyait se dérouler des spectacles. Son architecture est néo-mauresque avec une frise et des motifs en haut des murs. Elle est toujours utilisée mais les enduits extérieurs ont été repris.
- courses en ville
Le parcours du marathon des JO de 2024 mentionne Viroflay lors du retour vers Paris par Chaville. Mais un marathon international est déjà passé sous les Arcades...
Un évènement, le dimanche 29 septembre 1935. Viroflay est traversé par le 2ème marathon international du journal L’Auto (le journal fondé par Henri Desgranges, qui organisa le premier Tour de France cycliste et que l’on connaît maintenant comme L’Equipe).
A l’occasion d’un meeting international au stade Jean Bouin, la fine fleur de l’athlétisme était à Paris, affutée à moins d’un an des Jeux Olympiques de Berlin en 1936. Le journaliste bien connu à l’époque, Georges Briquet, signe l’article et, confiant dans l’avenir, ajoute que les athlètes ont aussi en ligne de mire les J.O. de 1940 à Tokyo.
Annulés par le Japon, en guerre, en 1937, ils furent confiés à Helsinki mais la Finlande envahie par la Russie y renonça aussi. Il faudra attendre 1948 pour revoir les Jeux d’été à Londres, 1952 à Helsinki et 1964 à Tokyo.
Les journaux comme l’Auto du lundi 30 septembre s’enthousiasment de la victoire du Français François Bégeot au marathon (2h 37mn 4s) et de Leheurteur (à 4mn) qui sauvent l’honneur de la France le dernier jour du meeting. Dans le reportage du Miroir des Sports du mardi 1er octobre 1935 on voit le passage du futur vainqueur et du futur 3ème au coude à coude à Viroflay...
